L'Église n'a pas de position officielle sur ces questions. Bien que je puisse comprendre l'agacement d'un prêtre à l'égard des retardataires, cette solution semble un peu draconienne. Une telle action empêche activement quelqu'un d'assister à la messe alors qu'il était en retard pour une raison légitime (circulation, santé, etc.). Il s'agit certainement d'un aspect négatif trop important pour compenser tout effet positif.
Bien qu'il n'y ait techniquement aucune règle qui l'interdise, je pense que si l'évêque était informé de la situation, il demanderait au prêtre de cesser d'agir ainsi.