Pas du tout. Il ne peut pas enseigner cela en tant que successeur de saint Pierre. Ce qu'il a plutôt enseigné, c'est qu'il existe certains cas concrets qui pourraient permettre aux personnes divorcées et remariées de recevoir la Sainte Communion en raison d'un aspect qui supprime leur culpabilité pour leur situation. Ces cas sont si particuliers qu'ils doivent être décrits en détail. On ne peut pas les généraliser.
Il a indiqué assez clairement que ces cas devaient être traités un par un. Il n'y a pas, et il ne peut y avoir, de permission générale telle que vous la décrivez. De nombreux évêques et théologiens ne sont pas satisfaits de la confusion qui a été créée récemment sur ces points, et nous devrions tous prier pour que cette confusion soit dissipée pour le bien des âmes qui sont induites en erreur.