Le prêtre en question a violé le droit canon, et peut-être la loi morale, en refusant de baptiser le bébé. Il doit être informé de ce que l'Église enseigne. En cas de nécessité urgente, et en particulier dans le cas d'enfants de moins de sept ans, le droit canonique exige qu'ils soient baptisés sans délai (CIC 867 §2). Lorsque le bébé risque de mourir, il n'est pas nécessaire que les parents soient présents, qu'ils soient catholiques pratiquants ou même mariés dans l'Église. Dieu merci pour ce médecin et d'autres médecins comme vous.